Mariage d'Adonis et Aliéna

Messages : 10 Date d'inscription : 24/10/2010 Age : 34 Localisation : Thouars

Thomas regarda autour de lui cherchant un blasphémateur. Bizarrement quelque regard se portez sur lui. Il fronça les sourcils, Si cela était un blasphème alors bien d'autre aurai du arrivé au purgatoire sans avoir demandez deux pain au seigneur. Il regarda le religieux et lui fit un sourire.

- Mon seigneur ceci est ce qu'on appelle couramment de "l'humour". M'enfin si vous ne l'aimez pas cela peu m'importe mais je ne désirez pas a détruire la fête. Mais bon vous désirez que j'approche donc j'arrive.

Tous en se dirigeant vers l'évêque il reprit.

- Vous m'en voyez désolé mon seigneur mais j'étais loin de pensez que vous n'aviez guère "d'humour". A mon mariage on m'avait fait la même chose donc je me suis dit que cela aurai été assez sympa de le faire.

Il arriva au niveau des mariés et de l'évêque. Il regarda Max et sa compagne les gratifiant d'un sourire.

- Bon me voici mon père. Sachez toute fois que je suis prêt a subir les conséquences de mes actes, mais que si vous m'excommunier n'attendez pas a ce que je soit toujours l'aussi fervent croyant que je suis aujourd'hui.

Il croisa les bras et regarda le prêtre.

Messages : 50 Date d'inscription : 05/05/2010

Il en est assez !

Vos mots sont lourds de sens. Sachez mon fils, que j'ai effectivement le sens de l'humour, que tous ceux qui me connaissent et qui sont présents vous le pourront dire.

Je n'ai simplement pas le sens commun de plaisanter lorsqu'il s'agit de Foy, d'engagements et de Dieu.

Je n'ai que faire que cela fut pareillement à vostre mariage, et celui qui a agit ainsi, a eut de la chance de s'en tirer à si bon compte. Vous portez ainsi de Saintes valeurs telles des plaisanteries. Songez un simple instant à vos paroles. Songez à toutes les asmes qui sont au côté de nostre Seigneur. Vous n'avez point le droit que de porter atteinte ainsi à ces Hommes qui sont morts pour une cause qui fut leur. Nous ne saurions tolèrer de tels propos sur nostre diocèse et en la maison de Dieu.

Et qu'entendez vous par le fait que si nous vous excommunions, vous ne resteriez point ainsi aussi fervent que présentement ? Sont-ce là des manaces envers nostre personne ou nostre Sainte Eglyse !?

Vous semblez ne pas savoir à qui vous parlez mon fils.

Mais présentez vous.

Messages : 20 Date d'inscription : 29/03/2010

Olive sursauta lorsqu'il entendit une personne prendre la parole afin d'objecter.

Citation :: - Excusez moi ...

Citation :: - Savez vous où est la buvette ???

Olive haussa un sourcil et se demanda qui était ce mécréant qui osa prendre la parole pour sortir une telle ineptie... en plus, le vilain se permit de menacer l'évêque en ces termes quand celui-ci lui demanda d'approcher:

- Bon me voici mon père. Sachez toute fois que je suis prêt a subir les conséquences de mes actes, mais que si vous m'excommunier n'attendez pas a ce que je soit toujours l'aussi fervent croyant que je suis aujourd'hui

Il insista de plus en appelant Monseigneur... mon père! *Tudieux pensa olvier... il manque pas d'air*. Il commença à se demander si il avait été invité ou si il s'était invité.

Citation :: - Vous m'en voyez désolé mon seigneur mais j'étais loin de pensez que vous n'aviez guère "d'humour". A mon mariage on m'avait fait la même chose donc je me suis dit que cela aurai été assez sympa de le faire

Cela n'étonna pas Olivier si son mariage avait eu lieu dans une foire aux bestiaux ou encore dans un cirque de bohémien... Quoiqu'il en soit Olive avait l'épée qui lui démangeait.. Il fit son possible pour rester calme. Il regarda tour à tour Max et Aliéna... puis Gaelle et enfin Soleil. Quand son regard croisa celui de Soleil, Olive secoua la tête en signe de négation et un soupir de dépit lui échappa... Song sang bouillait et... une main douce prit la sienne en signe d'appaisement.. C'était Mily qui avait dû lire dans ses pensées et se doutait qu'Olive bouillait intérieurement....

Olive savait qu'il fallait rester calme et ce n'était ni l'endroit ni le lieu mais en d'autre endroit et circonstance... *il aurait gouté de la lice... foi de Sergent Lyonnais pensa t'il.*

Puis olive pensa à autre chose tout à coup... *ne serai ce pas un coup monté de Max ou alors... ce personnage est un simplet échappé d'un hospice. Un sourire moqueur intérieur vint à Olive à cette pensée.*

Messages : 15 Date d'inscription : 19/07/2010

Elle était comme absente, pratiquement depuis le début de la cérémonie. Attentive malgré tout aux moments de discours des témoins, attentive aux moments des échanges entre les mariés, attentive à chaque paroles de l'officiant. Absente de tout ce brouhaha se faisant toujours plus présent. Bien d'autres choses traversants son esprits que les chuchotis et gymnastiques de tous. Mais alors que la question tant redoutée de tous à chaque cérémonie de mariage fut prononcée, on entendit quelqu'un se manifester. Sur le moment elle ne se tourna pas, pensant que son esprit lui jouait des tour. La hantise d'un jour, elle se trouver à la place d'Ali et Max, étant encore plus présente ce jour, plus présente depuis la veille, qu'elle devait avoir l'imagination débordante en ce moment. Mais non, c'était belle et bien vrai, cela devait-être une farce. Et oui, apparemment le but était l'humour. Elle n'eut toutefois aucune réaction particulière, écoutant le dialogue s'installant entre Monseigneur Guiguil et l'individu. tout cela paraissant si surréaliste. Et sentant Olive commencer à se remuer, dégageant une certaine nervosité. elle redevint la douce Mily et contrairement à ses réactions du moment, resta calme au possible et posa avec douceur sa main sur la sienne. Tournant enfin son visage et venant poser son regard sur lui, cherchant le sien et souriant tendrement. Un léger signe de tête envers cet homme l'accompagnant, lui demandant de ne pas réagir. De laisser régler ce différent entre personnes concernées et revenir dessus ensuite si tel était son souhait. Mais pas là, pas maintenant. Pour Ali et Max. Leurs amis qui ne méritaient pas que leur mariage soit un vilain souvenir plus tard au lieu d'un si beau comme il le devait.

Max entendit une personne râler.
Il se retourna et vu sont frère hospitalier Thomas se lever pour demander la buvette.
A celui là, qu'es qu'il fallait pas faire pour se faire remarquer hein !

Max lui esquissa un sourire, puis il en fit un aussi a ali pour lui faire comprendre que ce n'était pas grave

Messages : 10 Date d'inscription : 24/10/2010 Age : 34 Localisation : Thouars

Thomas fit un léger soupire. Pourquoi fallait il que les religieux veulent tous purifié par le feu a la place de soufflé un coups, de rire et de cherché une voie plus pacifique. Ce qui lui fit le plus sourire était un homme non loin de lui qui portait les armes. A son sens les armes n'avait lieu d'être dans la maison de dieu. M'enfin passons. Il regarda le prêtre et lui fit un sourire.

- Je me nomme Thomas de la famille des Latapie.

- Et ne considéré pas mes thermes comme une menace quelconque. Tournons le dire d'un façon plus archaïque. Imaginé qu'un de vos amis vous met un grand coups de savate dans le museau pour avoir déconné un bon coups. Allez vous lui sourire et lui dire merci tous en continuant de le fréquenté ??? Enfin moi j'arrive bien a pardonné mais ce genre de truc ça a tendance a me resté au coin de la gorge.

- Et si je sais a qui je parle. Je suis en train de parlez au plus grand des pères que je connaisse ... Enfin après Aurélien ... et le plus beau aussi !!

Thomas fit un léger sourire, un peu de pommade ça ne fait pas de mal. Mais a vrai dire il ne savait pas a qui il avait a faire ... Pourvu que ce ne soit pas un cardinal ...

Duchesse Messages : 1260 Date d'inscription : 03/06/2009

La mère du marié fronçait les sourcils.

Elle avait les yeux rivés sur le dallage qui lui avait coûté une petite fortune, s'il n'y avait ne serait ce que la moindre fissure, elle se ferait un plaisir d'aller se présenter à l'assoiffé à la fin de la cérémonie. Elle avait fait venir le marbre tout droit d'Italie...

Messages : 50 Date d'inscription : 05/05/2010

Messire Thomas, j'eus été plus qu'heureux que de vous connoistre en d'autres circonstances.

C'est donc à mon tour de me présenter.

Je suis Monseigneur Guillaume de Lyseuil, digne successeur des apôtres sur le fauteuil épiscopale de Langres, Premier Aumônier et Haut Dignitaire de la Garde Episcopale et Pontificale Romaine de Nostre Sainte Eglyse, avec tout ce que ces fonctions sous entendent.

Et je vous remercie d'abaisser le niveau de vostre discours à un humble serviteur du Créateur, qui ne dispose pas semble t-il de l'intelligence nécessaire pour comprendre l'entièreté de vos propos.
Et soyez remercié pour tous ces compliments, mais sachez que je ne succombe point ainsi aux flatteries.
Et je déplore que des connoissances de mon frère Aurélien, pour lequel j'ai une grande amitié soient ainsi sans respect de lieux de cultes. Mais je ne comprends pas qu'ayant eu à subir ceci par vous mesme, vous agissiez ainsi.

Reconnaissez vous que vos propos furent blasphèmatoires ?

Messages : 10 Date d'inscription : 24/10/2010 Age : 34 Localisation : Thouars

Thomas poussa un soupire. Le seigneur lui fessais dire ce qu'il n'avait pas dit m'enfin ce n'était loin d'être un rigolo ... Il fit une légère moue en sachant que s'il voulez s'en sortir en a peu prés un morceau c'est de courbé l'échine et d'accepté. Il ne savait qu'il y avait toujours des religieux de la vielle école qui fessais bruler les gens juste pour dit "nom de dieux", ce qui avait tous l'air d'être le cas du seigneur. Il regarda le seigneur et lui répondit.

- Sans respect sans respect ... Tout de même poussez pas le bouchon trop loin. D'ici peut vous allez me dire aussi que je suis un cathare qui a brulez le livre des vertus ...

Il croisa les bras sur sont torse pour se protégé de la violence du père.

- S'il y a que cela pour faire plaisir, oui je reconnait que mes propos sont blasphématoires.

Dragones de là où elle était installée ne pouvait voir ce qui se passer dans son dos. Elle se glisse légèrement sur le coté ayant de la place, elle ne gênerait personne, la vue fut un peu plus large et l’observation se poursuivit tout en écoutant les amoureux déclarer leur amour après les discours des témoins et de la mère…
Elle en avait profité pour observer Angelyque se demandant si elle tenait plus de Vaxilart ou de Doudou. La grâce de sa tante n’était pas à douter et elle comprenait d’où elle tenait ce même maintient qui devait être un trait féminin de la famille.

La cérémonie se poursuivait et une question vint se poser sur l’assemblée, un moment de silence bien lourd se propagea dans l’édifice jusqu’au moment où un homme prit la parole…
Des murmures se firent entendre et les regards se posent sur l’homme.
Celui-ci demande où est la buvette, Dragones sourit et porte son attention sur l’officiant qui n’apprécie guère la plaisanterie et de là un échange entre les deux hommes se fait avec par moment un martèlement du bâton sur la dalle qui faisait raisonner le bruit dans la chapelle.
Dragones se demandait si l’échange aller durer ou si la cérémonie allait pouvoir reprendre le cours…

Vassal Messages : 103 Date d'inscription : 23/03/2010 Localisation : Joinville

C'est toujours au moment où on s'attend à un grand silence pesant qu'il se passe quelque chose que tout le monde redoute.
Ici, c'était une sorte de cri qui avait rompu ces quelques instants de calme. Une question suivie de plusieurs dizaines de têtes qui se retournent pour voir le visage du perturbateur... Finalement, les murmures, les froissements, les claquements et les "oh" de surprise, ça fout un sacré bordel au milieu de la cérémonie. Sans oublier tous ceux qui ne purent empêcher un petit rire avant que Monseigneur Guiguil ne reprenne les choses en main.

Rapidement le silence était retombé sur la salle et ne résonnaient maintenant que les paroles de l'Evesque et celles de l'inconnu. Ce bougre d'idiot ne semblait pas réaliser à qui il avait affaire et ne se contentait pas de s'excuser platement... Non... Il discutait calmement avec son ami Guiguil alors que parmi les invités certains commençaient à trouver le temps légèrement long pour une aparté...
Guiguil faisait ce qu'il avait à faire, l'autre ne comprenait rien.

Il regarda tout d'abord son beau-frère, Max, qui était en train de rassurer Aliena. Lui ne semblait pas trop inquiet, signe qu'il devait connaître l'homme à la buvette.

Les yeux du joinvillois se posèrent ensuite sur sa voisine, Angelyque. La connaissant bien, il comprit rapidement que son analyse du marbre posé au sol ne devait pas être désintéressée... Discrètement il lui tapota la main et pointa son index dans la direction de Guiguil et du perturbateur. Ce geste suivi d'un hochement de tête vers la porte, en gros il était prêt à foutre cet idiot dehors si la situation le demandait. Ce ne serait pas la première fois qu'il jouerait le rôle du portier... La dernière fois c'est un ancien régent de Bourgogne qui en avait fait les frais en plein milieu d'une cérémonie religieuse dans la cathédrale de Bourgogne...

Messages : 50 Date d'inscription : 05/05/2010

Guiguil serrait les dents. Eh oui, parfois.....

Pousser le bouchon un peu trop loin ? Pousser le bouchon un peu trop loin ? C'est vous qui avez ainsi prit la parole en parlant de buvette alors que nous sommes en plein office religieux dans la maison de Dieu.

Je n'ai que faire de vostre attitude mon fils, mais je souhaite réellement que vous vous repentiez de ceci afin que nous puissions poursuivre. Et je parle bien là d'un reprentir sincère, celui qui purifiera vostre asme, sans quoi vous aurez à en répondre pardevant mon tribunal.

Messages : 10 Date d'inscription : 24/10/2010 Age : 34 Localisation : Thouars

Thomas fit une légère moue, il n'avait pas insulté l'église, il n'avait pas dit : "au buché le prêtre !!" ou alors "l'aristotéliciennerie c'est pourriiiis !!" Il avait juste gêné le seigneur dans son œuvre et pour montrer l'exemple, pour bien montrez que c'était un bon gros dure, il le trainait dans la boue. Autant avant il rigolé autant là il en avait marre et était énervé. Mais il fallait flatter l'égo du religieux et se mettre a genoux devant lui sinon il allait faire une escalade inutile dans la violence religieuse mais surtout le mariage de son ami n'allait pas ce faire !! Aussi il se mit a genoux, il joignit ses mains, baissa la tête et dit d'une voie douce amplis de sincérité.

- Pardonné moi, mon seigneur, d'avoir gêné votre saint office et acceptez mon repenti. Aussi je m'engage a ne plus rien dire jusqu'à la fin de votre saint office et aussi a ne plus dérangé un mariage avec l'une de mes boutades vaseuses.

Il reste dans la position du pénitent et attendit la saint punition tombé ou bien le saint pardon. Bien que tous son etre préféré le saint pardon.

Messages : 22 Date d'inscription : 30/03/2010

Les échanges un peu houleux avait eu raison de son sommeil, il avait cru un temps que lemoment de quitter cette chapelle était venue , chapelle fort mal placée d'ailleurs , au lieu de l'avoir construit à l'extérieur du château il l'avait construit en étage.
Ainsi la baronne pouvait plus vite aller se confesser.
Elle semblait l'admirer comme un joyau .
Fichtre, son fils tenait bien d'elle, toujours à vouloir se montrer.
Bref il remit sa tête sur l'épaule d'Alcidie.

Messages : 50 Date d'inscription : 05/05/2010

Guiguil n'avait point apprécié devoir arriver à cette extrémité, la seconde fois de sa longue carrière. Mais chaque chose avait un temps, et le temps du receuillement, du partage, de la prière, ne pouvait se voir ainsi troubler par qui en sentait le besoin et chacun selon son bon vouloir. Certes, il avait haussé légèrement le ton, mais il le devait.

L'Evesque se pencha à l'oreille de Thomas et lui dit tout bas.
Merci mon fils,

Il le saisit alors par les épaules, accompagnant ainsi le relevé de l'homme et continua de lui parler tout bas plongeant ses yeux dans les siens.

Vostre repentir me semble sincère, et je veux croire en lui. Mais je dois vous mettre en garde contre une nouvelle tentative ailleurs, où vous risqueriez de froisser réellement l'officiant du moment et nous en connoissons tous deux les consequences. Vous réciterez intérieurement le Confiteor et le Saint Crédo trois fois par jour pendant deux semaines. Et vous n'allez peut-être pas me croire, mais si un jour vous avez besoin...

Ego te Absolvo

Guiguil laissa l'homme repartir et reprendre sa place, et avant de regagner la sienne pareillement il frotta disretement son soulier sur le marbre italien pour vérifier son état. Piouufff va tutto bene et heureusement. A nouveau prêt, il dit.

Pour la seconde cérémonie de cette Chapelle, nous pouvons affirmer que l'Amour de Dieu est grand, et que le signe du partage, du pardon est présent icelieu. Dieu aime tous ses Enfants, et accorde son pardon à l'humble qui le lui demande.

Je demande à présent que me soient présenté les alliances avant que de poursuivre.

Messages : 10 Date d'inscription : 24/10/2010 Age : 34 Localisation : Thouars

Thomas se releva légèrement pale. Pour ce coups si c'était pas passez loin. Au moins aujourd'hui il avait comprit un truc, plus faire le con dans un mariage. Il écouta ce que dit le seigneur et hocha la tête. Il repartie a sa place et une fois assit il se dit qu'il ferai cela selon les règles. trois fois par jour pendant deux semaine.

Belle fille d'Angélyque Messages : 134 Date d'inscription : 20/03/2010

Avant de poursuivre plus en avant, je demande à celui qui s'oppose à cette union de parler maintenant pardevant nous, ou de se taire à jamais.

Comme tout le monde, Aliéna regarda craintivement les personnes présentes dans la chapelle.

Excusez moi ...

La bouche grand ouverte parla surprise Aliéna regarda Tomas. Pourquoi ne voulait-il pas qu'elle épouse Maximien ? Était-ce parce qu'il était amoureux d'elle et souhait quelle se marie avec lui ? Était ce parce que Maximen avait une maitresse et qu'il voulait la prévenir ? Oui, c'était surement ça ! Max devait la tromper avec une blonde !
Aliéna réfléchissait à toute allure. Avec qui la trompait-il ? Avec la voyageuse qu'il avait escorté pendant son voyage ? Avec une Briançonnaise ? Il était resté si longtemps là bas ! Aliéna regarda les voisines de sa marraine ... Flora ! C'était surement elle la maitresse de Max !
Elle lui lança un regard noir quand ...

Savez vous où est la buvette ???

M'enfin !

Aliéna regarda Max et vit son sourire rassurant. Ce devait être ... une plaisanterie ?
Elle se rappela alors que Thomas leur avait dit qu'il leur ferait une surprise, une plaisanterie qu'on lui avait fait à son propre mariage ...
Ah bin ... bravo pour la surprise, c'en était une réelle ! Elle n'aurait jamais imaginé cela !

S'en suivit une discution animée entre Monseigneur Guiguil et Thomas. Aliéna avait envie de leur dire que ce n'était pas bien grave, mais elle n'osait interrompre l'évêque. Elle regarda Max, en se mordillant la lèvre, priant pour qu'il intervienne lui.
Mais finalement cela prit fin et Guiguil demanda qu'on apporte les alliances.
Aliéna se retourna alors vers Alcidie en esquissant un sourire.

Depuis un endroit bien dissimulé derrière une boiserie, le domestique ne perdait pas une miette du spectacle qui s'offrait à ses yeux. Ahhh si les gens savaient tous les petits endroits du Castel de Maulnes où il avait réussis à s'infiltrer clandestinement... ça en ferait pâlir plus d'un, et d'une.
Là, les gens n'y réfléchissent jamais avant de s'envoyer en l'air ici ou ailleurs... Mais lui est toujours là pour les surprendre et partager tous les ragots avec Mathilde, la cuisinière, qui lui offre ensuite un repas. Il la soupçonne d'ensuite revendre ces petits secrets aux gardes contre quelques petites gâteries, mais ça il s'en contrefichait.

Una gorda guarra...

Il se perdait petit à petit dans ses rêveries quand le spectacle au premier rang attira son attention. C'était quoi ce jeu de chaises musicales ? Mais... Le blond ! Rhaa il le détestait celui-là ! La dernière fois qu'il était venu au castel le pauvre serviteur avait fini transpercé par un soldat lyonnais trop bourré et fier de lui. La blond... Il allait payer celui-là ! En plus il avait eu l'audace de perturber la cérémonie en se faufilant jusqu'au premier rang alors qu'il n'avait rien à faire là... Surement pour faire la cour à la patronne... Il tournait tout le temps autour ! Si seulement messire Stam était encore de ce monde... Bon il n'était pas parfait non plus, il aimait bien ramener une fille du village jusqu'aux écuries, mais lui au moins était brave.

Un peu plus loin une sorte de blonde allait se retrouver avec le derrière par terre tellement on la repoussait vers l'extrémité du banc. Riccardo était en train de parier sur le moment où elle s'étalerait et déclencherait un fou-rire général lorsque son voisin l'empoigna et la posa sur ses genoux. De sa cachette il ne voyait pas son visage mais il pouvait fort bien imaginer le sentiment de honte qu'elle devait ressentir du fait de dépasser d'une bonne tête les autres personnes présentes. Voir le sire assis derrière elle se tordre le coup pour voir le spectacle était tout aussi hilarant.

Un noble arriva à la bourre, son statut était tellement évident que personne ne sembla lui tenir rigueur... Il le suivit quelques instants du regard avant de continuer son tour de la masse d'invités.
Lorsque ses yeux se reposèrent à nouveau sur le noble, son esprit mal tourné se demandait si le sire était en train de faire la cour à la demoiselle à ses côtés, qu'il trouvait personnellement trop vieille, où s'il lui tenait un tout autre type de discours qui dans ce cas lui échappait complètement.

Se rappelant qu'il lui restait la supervision de la suite de la journée, il s'esquiva de sa cachette au moment où un cri perça la salle et où quelqu'un semblait avoir interrompu la cérémonie du Seigneur Adonis et de sa future femme.
Le beau domestique hésita quelques instants ne sachant trop que faire... rester ou le devoir ?

Messages : 20 Date d'inscription : 25/10/2010

Mais, comme le baptême, le mariage est un engagement à vie.

La phrase de l’Evêque tournait et retournait dans sa tête. Un engagement à vie bigre… ça lui faisait presque froid dans le dos. C’est qu’il en voyait des couples autour de lui. Des mariés qui batifolaient partout ou vivait une vie semblant empreinte de monotonie conjugale, des trompés et des trompants. A vie… les deux mots qui donnaient à réfléchir.
Avec Dance il aurait franchi le pas depuis plus d’une année qu’ils étaient liés l’un à l’autre, mais maintenant que le Tres Haut l’avait rappelée à lui, il n’était plus certain de le pouvoir avec une autre. Le mariage était une chose trop sérieuse et engageante pour deux personnes, pour le prendre à la légère et vouloir afficher une fête qui durerait des instants éphémères. Et puis pourquoi alliéner sa vie entière à une seule lorsque l’on hésitait sur ce que l’on devait faire.

La main de sa Comtesse préférée qui prenait la sienne le sortit de ses pensées et il tourna son regard gris vers elle. Il la connaissait suffisamment pour savoir que quelque chose n’allait pas. Elle semblait mélancolique et doucement il ressera ses doigts. Petit froncement de sourcils soucieux lorsqu’il reporta son regard devant lui. Il savait Dotch tres occupée par ses charges et fonctions importantes, mais il était certain qu’il y avait autre cause à ça. Les cérémonies rappellaient toujours quelque chose et si pour lui celles des mariages le ramenaient toujours vers sa blonde chieuse à Sainte Ménéhould ce jour de mai 56, ce qui lui soutirait de petits sourires, pour d’autres il en était certainement autrement .

Il soupira en balayant les premiers rangs du regard, amusé par certaines personnes ou attitudes.
Il était invité à deux autres mariages dans quelques semaines, et il se demandait s'il y aurait autant d'animation que pour celui-la.
Le moment fatidique de l'éternelle question où les mouches suspendent leur vol avait donné lieu à un drole de numéro, pas spécialement comique mais étonnant, et il en profita pour replonger dans ses pensées. C’était décidé, en partant il ne retournerait pas sur Montauban où son ennui était égal à celui de Pau, malgré la présence de ses deux amies. Il irait rendre quelques visites et trainer un peu ses bottes sur les chemins.

Messages : 11 Date d'inscription : 07/04/2010

Et vas-y qu'Angélyque se lève, et vas-y que Kéridil se lève, et vas-y que BOUM !

La Duchesse de Nevers sursauta. Elle avait déconnecté le mode "commère", et, entrée dans le mode "pieuse", tout ce qui se passait autour d'elle semblait émaner d'une pièce dont elle n'était que spectatrice. Le BOUM la tira de ses prières pour le bonheur des époux.

Un regard noir à Kéridil - et qui savait s'il n'était pas chargé d'autres accusations que celle d'avoir fait tomber Della - , et elle essaya de calmer son poul, qui avait grimpé en flèche. Respire, ma fille, respire...

La cérémonie continuait. Béatrice repensait, c'était inévitable, à sa propre émotion mêlée d'angoisse, à ses noces ; Aliéna était-elle dans le même état ? Elle avait cela de différent avec Béatrice qu'elle connaissait et aimait, manifestement, l'homme qu'elle épousait.
Non que Béatrice regrettât d'avoir épousé Guise von Frayner ; mais c'est un fait qu'au moment de ses noces, elle ne connaissait de lui que quelques lettres impulsives, et quelques récits qu'on lui en avait fait. Il la terrorisait, mais elle n'avait pas le choix...
Tout allait mieux, désormais.

Elle s'apprêta à plonger dans de nouvelles prières, dans le silence qui s'installerait après la rituelle demande d'éventuelle opposition... Et bondit derechef. L'on osait ! Et à pleine gorge, en plus, pour que tout le monde entendît ! Dieu du Ciel. La Duchesse se signa aussitôt, et porta toute son attention sur l'évêque, sage et altier. Ses arguments étaient justes et percutants, et Béatrice regretta que le repentir fût si long à obtenir : ce n'était pas rendre justice à la force de persuasion de Monseigneur Guillaume...

Messages : 22 Date d'inscription : 30/03/2010

Ce mariage était ennuyeux au possible, les personnes présentes ne semblaient pas connaître Aristote bien que lui non plus;
la baronne ou vicomtesse n'arrêtait pas de se regarder, les uns et les autres s'interpellaient et certainement pas dans un esprit aristotatélicien.
A croire que marié et autres invités n'avaient jamais appris leur pastorale.
Vraiment, heureusement que sa douce était là mais ce qu'il subissait là ne pouvait pas le conforter dans sa façon de voir les choses.
Si Alcidie n'avait pas été là il serait vite reparti laissant les autres continuer sans lui.

Beau Fils d'Angélyque Messages : 26 Date d'inscription : 23/10/2010

Le truc vachement bien, c'est que presque personne ne s'aperçut de la chute de Della et de l'étourderie de Keridil, le truc vachement moins bien, c'est que si quelqu'un semblait avoir vu la scène, c'était la Castelmaure.
A son regard noir, l'orléanais n'a guère d'autre choix que faire un pitoyable regard qui veux dire pardon et d'afficher un moue carrément désolée. Autant c'eut été quelqu'un d'autre, il n'aurait eu cure de son opinion, mais Béatritz, c'était LA tendre amie de Della, son modèle, quasiment la seule autorité qu'elle avait accepté hors celle de ses parents et probablement celle de son frère. C'était the one à qui il fallait à tout prix faire bonne impression, et sincèrement, le brun en avait envie. Pas seulement pour les convenances, mais depuis longtemps déjà le Chambellan avait fait preuve d'une volonté de faire à faire la connaissance de l'entourage de son aimée, et force est de constater que si l'une d'elle avait manqué jusque là, c'était la Duchesse de Nevers. Le temps des présentations viendrait bientôt, soit en Novembre à Alluyes, puisque Keridil ne doutait guère qu'elle soit de la partie, soit aux festivités de ce mariage-ci, celui où on est là tout de suite.
Bon, mine de rien, même s'il pense beaucoup beaucoup à tout plein de choses, l'Amahir n'en est pas moins un fervent aristotélicien, et ce jusqu'à la moelle, aussi ne manque-t-il pas de lâcher la brune du regard pour tourner celui-ci vers un rigolo qui évidemment a trouver bon de briser le fantasme que chacun a eu au moins une fois dans sa vie : se lever et parler au moment du silence...tirant bien évidemment au jeune homme un signe de croix discret et très subtil, qui fait de deux doigts ne dépasse pas son torse.
Pour le coup, celui que le Dauphin d'Orléans admire, c'est l'évêque. Tudieu la classe ! Non seulement il fait claquer la crosse à merveille, mais en plus il fait ployer les malappris. Non content d'être autoritaire, il est aussi tout à fait magnanime et donc de bonne foi. Ahlala...Dariush il est bien à Orléans, mais il est un peu mou-mou quand même. La prochaine fois c'est le Guiguil que Keri-Keri ira voir à confesse, quoi que je puis vous assurer que le fiancé de la blonde n'aie rien sur la conscience. Eh oui, c'est tout net qu'il arrive à son aimée. Après avoir fait pénitence pour ses péchés, si si c'est promis. Pas sûr que tout le monde puisse en dire autant...
Et puis vient le moment de promener à nouveau son regard sur la foule de bourguignon et consorts. Oh tiens, Eusaias ! Quel agité celui-là, autant dire que l'avoir comme témoin, c'était risqué...

Messages : 2 Date d'inscription : 28/10/2010

Eloïce regardait tranquillement le mariage se déroulait. Tout aller pour le mieux. Les mariés avaient l'air de s'aimer. Oui, elle croyait, car en définitive, elle ne les connaissait pas... Elle était à nouveau plongée dans ses pensées, et elle y sombrait ! Son regard voguait, mais elle ne voyait que du fou, son regard ne se posa sur aucun point fixe. Elle sursauta quand elle entendit un bruit sourd. Elle regarda autour d'elle afin de voir d'ou celui-ci venait. Elle vit alors qu'une Dame était tombée. Une Dame... oui mais qui ? Pourtant elle était sur de l'avoir déjà vu quelque part. Elle réfléchit, réfléchit.. Non, décidément, rien. Rien ne lui venait à l'esprit. Puis elle fit le tour des endroits ou elle allait. Soudain l'image lui revient en mémoire. DECO ! Mais oui, bien sur ! Elle se frappa le front et se rappela en même temps qu'elle n'était pas seule dans la pièce. Elle rougit et vérifia que personne l'avait vu. Elle regarda La Castelmaure et vit que la Duchesse était elle aussi troublée. Elle suivit son regard et s'aperçut que c'était pour la même raison qu'elle : la Dame.
Eloïce se re concentra sur le mariage. Il en était au moment ou si une personne voulait interrompre le mariage, elle pouvait. Elle jeta un coup d'oeil à l'assistance et entendit quelqu'un parler. Elle retint son souffle. Quand elle entendit que l'homme cherchait la "buvette" elle inspira expira lentement. On peut dire que cet homme avait dût faire peur aux mariés ! Elle retint un rire étouffé et souris légèrement. Puis elle jeta un coup d'oeil à La Castelmaure.

Messages : 14 Date d'inscription : 27/03/2010

Alcidie fut distrète par l'intervention du messire. Elle vit alors le regard d'Aliena qui la rappella à l'ordre.

Alcidie pris alors le coussin avec les alliances et vint au coté des mariés et leur présenta alors les alliances

Mariage d'Adonis et Aliéna - Page 7 Mariag10

Alcidie de demanda si toute fois elle ne s'était pas encore trompé et sourit aux mariés

Messages : 50 Date d'inscription : 05/05/2010

Guiguil regarda alors Alcidie approcher avec le coussin et les alliances. Tient, Alcidie.......elle devait le suivre, il e aurait mit sa main au feu. C'était marrant de voir qu'à ses crémonies, il y avait toujours un clerc de lyon. Et après çà, les gens disaient qu'ils n'étaient point sur le terrain. ^^
Il salua sa soeur, et continua le déroulement de la cérémonie par les suivit du DC.

Maintenant les enfants, affirmez-vous que cette union est faite sans contrainte aucune ?

Il regarda machinalement Ange à cette phrase, il ne savait pas pourquoi. Peut-être ce désir irrépressible de la regarder à chaque fois qu'il posait ce genre de question et pourquoi Cuche était-il à ses côtés ? ^^. Et un large sourire plus tard, il écouta les réponses.

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