Mariage d'Adonis et Aliéna

Messages : 20 Date d'inscription : 29/03/2010

Devant tant de gages de simpathies, d'amitié et surtout d'amour, Olive ne put s'empecher de prendre discrètement la main de Mily et de la serrer très fort sans la regarder car il n'aurait pu retenir toute son émotion envers elle... émotion dû à cette cérémonie si belle.

Il croisa ensuite ses doigts avec ceux de Mily et ne pu s'empecher de penser qu'il l'aimait et qu'il était bien avec elle... bien simplement à son contact... sentir la douceur de sa main...sa chaleur... et surtout de savoir qu'elle aussi l'aimait. Ce bonheur si beau si simple Olivier s'en contetait comme un homme simple qu'il était. Il ne put s'empecher de regarder les deux amoureux qui allaient être unis...là devant eux et se dire qu'ils méritaient d'être heureux et qu'il approuvait et comprennait leur bonheur.

Il regarda ensuite Soleil et lui fit un grand sourire puis plongea son regard dans celui de Mily et ne pu décrocher de son regard.... Devant tant de paroles douces et justes il ne pu que dire "amen" tout en regardant celle qu'il aimait et pour qui son coeur battait si vite... elle était devenu le souffle de sa vie et sans elle il savait... il pensait ne plus pouvoir respirer... Est ce ça aussi que Max et Ali ressentaient au quel cas il comprenait et pour lui les mots vie, amour et bonheur prenaient tous leur sens...

Messages : 22 Date d'inscription : 30/03/2010

Phelim faisait un portrait plus que fantaisiste des deux mariés et l'on avait du mal à suivre mais l'avantage de tout ceci c'est que l'on avait oublié le premier mot quand il prononça les derniers.
Personne ne saurait jamais si il avait vanté les mérites et les qualités des deux mariés;

L'exercice difficile avait été surmonté avec beaucoup de talents.
Les témoins ayant tous poussés le petit discours, il crut bon d'applaudir.
il souriait à la pensée du discours incompréhensible de Phelim.

Vassal Messages : 103 Date d'inscription : 23/03/2010 Localisation : Joinville

Phelim avait offert à l'assemblée le plus beau témoignage qu'il lui avait été donné d'entendre et cela lui changea les idées. Un sourire en coin et quelques regards vers le baron Eusaias qui était plus que cité dans cette ode. Tout le monde semblait rester le c*l cloué et la Duchesse devait certainement se retourner l'esprit dans tous les sens en entendant ce qui se disait au mariage de son fils. Quoique... Avec un vassal comme ça, elle l'avait cherché !
Mais le joinvillois appréciait le spectacle.

Lorsque le calme après la tempête revint sur l'assemblée, elle se tourna vers lui.

(...) aurais tu à nouveau osé l'oublier avant de venir ici? (...)

Sur le coup elle avait même pas pensé à baisser le ton la Duchesse... Il ne voulait pas se retourner de crainte de voir ceux qui avaient entendu quelque chose.
Oui il l'avait "oublié" une fois mais c'était pour mieux l'accueillir et son plan s'est couronné d'un réel succès ! Donc ce n'était pas un réel oubli...

Avant qu'il n'ait pu expliquer à Angelyque se qu'il se passait réellement elle s'était déjà relevée pour lancer son discours... Brrr ça fait froid dans le dos d'entendre la belle-mère annoncer qu'elle va se pointer souvent leur rendre visite ! Ces quelques instants ironiques le firent sourire mais rapidement une personne revint hanter son esprit et ses traits se tendirent... Il n'avait pas oublié sa fiancée, la fille de la Duchesse, non ... Elle avait disparu !

Fallait-il le dire maintenant ou plus tard ? L'annoncer maintenant et Angelyque serait capable de faire foirer toute la cérémonie... Et lui n'avait aucune idée de la gravité de la situation... Il se torturait les mains en attendant d'arriver à trouver la meilleure solution.

Messages : 2 Date d'inscription : 26/10/2010

Dotch s'installa dans la chapelle aux côtés de son ami, son vassal. Elle s'installa pieusement sur le banc et se recueillit quelques instants. Il était bien loin le temps de son mariage, mais pourtant elle s'en rappelait comme si c'était hier. Il y avait du beau monde à cette cérémonie en la cathédrale Rémoise et ce banquet qui avait suivi était magistral.

Perdue dans ses pensées, elle ne se rendit point compte que la cérémonie commença. Ce n'est que lorsqu'elle sentit son ami se lever qu'elle sortit de ses rêves pour elle même se lever. A moitié perdue, elle murmura un petit

Amen

La de Cassel, saisit la main de son ami comme un besoin d'avoir un réconfort en cet instant de nostalgie.

Fille d'Angélyque Messages : 54 Date d'inscription : 19/10/2010

Mais mais mais !!!!
Que s'était-il passé ?
Comment était-elle passée du banc à...Kéri ???
Il avait osé !?
Il avait osé la soulever et la poser sur ses genoux ?!
Dans une église !!!

Ô Très Saint Seigneur, ayez pitié de moi...Fut la première réaction de Della. Elle sentit ses joues devenir rouges comme l'enfer et ses oreilles chauffèrent honteusement. Pourvu que Eldwin ne me voit pas...Fut la deuxième réaction de la même Della.

Mais...mais...mais...la nature est ainsi faite que même Della trouva des avantages à cette position.
Déjà, elle était mieux installée sur les genoux de son Prince Charmant que sur le bois dur du banc.
Ensuite, étant plus haut, elle voyait mieux...elle voyait tout !
Puis, elle avait libéré de la place pour deux Duchesses...ah, ça vaut son pesant de cacahuètes, ça - même si nous savons qu'il n'y a pas encore d'arachides au XVème siècle, en France.

Elle remua quand même un peu, histoire de caler ses deux fesses bien comme il fallait pour éviter un léger mouvement de roulis...vous voyez ce que je veux dire ?

Et une fois bien installée, elle posa son regard sur Angélyque qui elle regardait Kéri qui regardait Béatrice qui regardait...'fin bref, tout le monde regardait tout le monde...Jusqu'à ce que Phelim se lève.
Oui, parce que Phelim avait ce quelque chose qui captive une assemblée. Pas pour rien que Della avait tenté de l'acheter aux enchères, récemment. Chuuuut, Keri n'en sait rien. Ca reste entre nous.

Phelim parla. Ou plutôt, il tenta d'aligner des phrases. Ce qui était étonnant car le pigeon avait d'habitude un plus beau ramage. Peut-être était-il ému ? Allez savoir ce qui se cache dans le coeur d'un grand gaillard comme lui ?

Della fronça les sourcils...une question venait de lui traverser l'esprit...accompagnée d'une vague de frousse.
Elle se tourna, le plus discrètement possible, put ainsi voir que derrière elle, les personnes ne voyaient rien à cause d'elle, leur fit un petit sourire et se pencha vers l'oreille de Keri : Trésor, est-ce que nos témoins vont aussi devoir parler de nous, à notre mariage ? C'est que le témoin que Della avait choisi n'était pas n'importe quel témoin...et la Blonde posa son regard sur le dit témoin en discussion avec une certaine Comtesse que Della ne portait pas en son coeur. Et ça devait être réciproque.

Messages : 50 Date d'inscription : 05/05/2010

Guiguil sentait un léger trouble alors qu'il donnait la paroles aux témoins, et qu'ils semblaient se tendre la politesse à tour de rôle. Et pis non, tout roula, s'enchaina. Les uns après les autres, ils prenaient l'assemblée à témoin des sentiments, de cette volonté d'union. Ohhhhh que c'était beau. Puis, la maitresse des lieux se leva à son tour. Comment, il ne lui avait même pas encore donné la parole, elle brûlait les étapes. C'était impenssable. Que faire ? un coup de crosse, une addition plus salée la prochaine fois, une privation de quoi que ce soit. Ahhh oui, il savait. Il avait promis une inspection surprise en sa bibliothèque.

Chacun regagna sa place, et alors qu'il se tourna pour poser le livre saint sur l'autel, il glissa à ange.

Si je pouvais te faire rester à côté de moi mon ange, tu verras, le calme sera plus prompt, et c'est tellement mieux de ce côté-ci. Tu trouvera peut-être enfin cette vocation que je veux pour toi depuis toutes ces années.

Il lui fit un clin d'oeil, et la signant sur le front, il la laissa finalement reprendre son siège, veillant à ce que Cuche garda le silence.
Ainsi donc toujours debout devant l'assemblée, il leva les bras en direction des témoins.

Merci à vous mes enfants. Vous êtes les témoins de cet amour, pardevant Dieu, cette assemblée, pardevant nous. Sans oublier nostre Duchesse, ce qui n'est pas rien, vous pouvez me croire.Nous venons de franchir ensemble une étape menant vers l'union de ces deux êtres, mais il en reste encore quelques unes.

Il regarda les époux, avec le regard tendre d'un père.

Mes enfants, levez-vous.

Adonis, maintenant est le moment pour toi de formuler tes voeux envers Aliena, d'annoncer ton Amour pour elle, tes projets pour vostre couple, vostre famille à venir, ce projet de vie dans le respect des valeurs aristotéliciennes.

Beau Fils d'Angélyque Messages : 26 Date d'inscription : 23/10/2010

Alors qu'il allait commencer à bercer sa bien-aimée sur ses genoux, entrant dans un certain état de somnolence, puisque lui ne voyait plus rien de la cérémonie, la Duchesse de Bourgogne se leva, blablata comme le firent les témoins ce qui ne manqua pas de paniquer la future mariée - oui, oui je sais, si on sait pas qu'ils vont se marier ces deux là, mais que voulez vous, à quelques jours de l'évènement on n'a pas grand chose d'autre à penser - à qui le brun répondit : Je n'en sais rien ma douce, je n'en sais rien.
Retournant à sa somnolence, il laissa voguer ses pensées ailleurs, ça ferait pas de mal. Un petit bout de passé pour changer du futur. Après les femmes de la noce, voyez par là Béa et Angé, avec accessoirement Del-Del, les femmes d'avant. D'abord une rousse qui lui fit tourner la tête mais qui au final le quitta pour son plus grand bien. A vrai dire, c'était une envahissante Auvergnate qui avait eu le malheur de lui offrir un bleu d'Auvergne...original. Paraît qu'elle fricote avec les brigands maintenant, comme quoi on ne se remet jamais d'avoir aimé un Amahir, qu'il soit adoptif ou de sang. Après il y avait eu la plus douloureuse aventure d'un soir de sa vie. Winnette ! Ah celle là, pendant des soirées entières, histoire d'avoir eu tout le duché dans la bouche, elle avait essayé de l'avoir lui, et elle avait réussi. Par "dans la bouche", ne vous méprenez pas, nous parlons de langue et non de choses trop basses pour être laissées à la vue de tous. Mais le prêtre en confesse avait mal compris ce que le pas finot avait appelé sévices buccaux et vlan : une semaine d'abbaye, le tout doublé d'une semaine de prière avec une mère en colère.
Alors que ces pensées qu'il se garderait bien de révéler à la Volvent lui taraudaient l'esprit, il se surprit à rire, et c'est là qu'il entendit, au milieu du sermon religieux, quatre mots.

Mes enfants, levez-vous.

Et devinez quel cliché nous réserve l'avenir ? Bah oui, BOUM la blonde ! Et "haaaaaaaan" le brun.

Ah zut c'était pas pour nous ? Je suis confus....Continuez

Grand sourire de nigaud et hop on se rassoit, et maladroitement on chope la fiancée par les bras et on la hisse - pfiou c'est pas facile - sur les genoux. Et là on évite de regarder, rouge comme une pivoine, tous les yeux tournés vers soi, même si dans le fond, on aime bien avoir les regards sur soi.

Max comprit que c'était à son tour.
Il avait écouter ses temoins, et il regardait les beaux yeux de son aimée, elle était si belle dans sa robe de marié, Max en rêvait déjà, il avait attendu ce moment depuis si longtemps...
Que voila, il était l'heure de révéler l'amour qu'il avait pour elle devant le très haut, ce moment qu'il attendait depuis si longtemps était arrivé

Moi... Adonis de Montestier.
Quand je t'ai rencontrer, Aliéna, tu était toutes désorienté, et, je crois que tu m'as aussi un peu désorienté en créant chez moi un p'tit quelque chose qui n'ai jamais partit, mais qui c'est amplifier au file du temps.
Et puis, un beau jours d'hiver, j'ai comprit ce que c'était, j'étais tomber amoureux de toi, un amour, l'amour que j'attendais, la perle rare, l'amour de ma vie.
Et puis c'est aujourd'hui, un jours d'hiver à nouveau que je viens prendre ta main pour t'épouse, et lié notre amour pour toujours si tu l'accepte.
Si tu l'accepte, je jure de te rester fidèle et de t'aimer jusqu'à la fin.
Et puis, si tu l'accepte, je serais à toi.

Max lui fit un beau sourire

Belle fille d'Angélyque Messages : 134 Date d'inscription : 20/03/2010

Aliéna écouta Gaëlle, en souriant. Il est vrai qu'elles avaient rarement l'occasion de passer du temps ensemble, mais elle appréciait sa compagnie quand elles avaient l'occasion de se voir. Elle la suivit du regard alors qu'elle regagnait sa place, puis son regard se porta sur Phélim. Un éclair d'inquiétude passa dans ses yeux. Qu'allait-il dire de mal sur elle ?
Elle inspira un grand coup alors qu'il commençait à prendre la parole.

M'enfin, qui étaient donc ces Henry et Eusias ? Quel rapport avec elle et Maximien ?
Aliéna fulminait. Une fois de plus, Phelim avait réussit à la mettre hors d'elle en un temps record ! Sauf qu'aujourd'hui, elle ne pouvait pas se permettre de passer pour une harpie. Elle essaya donc de garder un air impassible, tout en bouillonnant intérieurement. Elle ne comprendrait jamais pourquoi Maximien était ami avec cet homme. Elle ne comprenait vraiment pas quand on lui disait que Phelim était un nounours, une vraie crème, ... Elle trouvait qu'il ressemblait bien plus à un ours mal léché qu'à un nounours !
Bref, il finit sa tirade par une phrase sympathique, et Aliéna esquissa un sourire.
Quand à Phelim, il avait l'air content de lui !

Un peu surprise, Aliéna regarda Angelyque se lever et prendre la parole à son tour. Calmée, elle écouta ses mots gentils. Elle murmura un "avec plaisir", quand celle ci termina en disant qu'elle viendrait souvent les voir. Pas trop souvent quand même ... pensa t-elle.
Aussitôt, elle se mordit la lèvre. Elle regretta ses mauvaises pensées. Angélyque était une femme formidable, et elle aurait pu tomber sur bien pire belle-mère ! Elle se promis d'aller se confesser ...

Mes enfants, levez-vous.

Aliéna obtempéra, ne prêtant pas attentions aux divers bruits et murmures qui provenait de la nef.

Adonis, maintenant est le moment pour toi de formuler tes voeux envers Aliena, d'annoncer ton Amour pour elle, tes projets pour vostre couple, vostre famille à venir, ce projet de vie dans le respect des valeurs aristotéliciennes.

Alinéa regarda Max en souriant, attendant qu'il s'exprime. Et quand il eut prononcé ses vœux, son sourire était éblouissant.

Messages : 7 Date d'inscription : 26/10/2010 Localisation : Alençon

La cérémonie ce déroulait au mieux, tous étaient très solennelle quand soudain le Baron Eusaias vint auprès d'elle et se mit à lui adresser la parole. Elle qui était en plein recueillement, ca plus les hormones... Forcément on pouvait sentir un certain agacement dans le regard de la Comtesse. Quand il vint s'asseoir auprès d'elle, elle fît un signe de la tête, marque de respect et de courtoisie pour elle. D'autant plus qu'il fût des Bourguignons qui ne manquèrent pas de la saluer lors des joutes qu'elle organisa à Saint-Omer. Ceci étant il avait fait des allusions plus que déplacées sur le fait que le Duc de la Louveterie puisse établir campement définitif en le Comté.... Comté issus de mariage et fief de retraite de son époux. Raillerie destiné au Duc ou à sa personne... Il faudrait y réfléchir prochainement.

Il venait en fait pour lui parler de sa joie inconditionnelle de la retrouver, bon jusque là c'était comme la majorité de la population du Royaume. Rien qui ne mérita qu'elle ne réponde.

Puis vint autre chose, un discours bancal sur les habits, et sur les Comtés qui auraient possiblement moins d'importance que des baronnies, elle leva un sourcil, dubitative. Elle se demandait même si le pauvre homme était souffrant. Il parla en suite gestion de domaine et de ce qu'on pouvait trouver sur ces terres, elle ne répondit pas une fois de plus. Mais elle reconnu que dans les propos du Baron il y avait là beaucoup de bon sens et qu'une terre florissante assurait la puissance du Noble qui la possède. Elle savait ce que cela représentait en terme d'investissement et surtout de conquêtes possibles...
Elle se redressa, accordant tout de même une certaine forme d'indulgence à son voisin.

Mais ce n'était pas fini il parla de Phelim... Elle ne le connaissait pas du tout, qu'avait-il de si particulier ce vicomte héraldique? Ben il avait du goût, mais les études des vieux textes philosophiques de Deedo était encore frais dans sa mémoire, et le goût c'était comme le beau... Tellement subjectif.
Ceci étant elle ne comprenait toujours pas, un "oui" comme une requête, Phelim, les boeufs, et les habits.... Elle mélangea tout cela dans sa tête quelques instants....

Eusaias était-il entrain de se confier à elle, était-il éprit de Phelim qu'il rencontrait au soir venu parmi les boeufs dans d'autres habits... Un blasphème dans une église tout de même. Et puis Deedo n'était pas un curé pour entendre les confessions intimes de tout le monde....
Elle toussota doucement....Pensant que... Puis non, c'était repartis....

Tout ce passait bien il voulait lui demander quelque chose on y arrivait... LA MAIN D'AGNES ! Mais FOUTRE DIEU CE N'ETAIT PAS LE MOMENT.

Elle tourna le regard vers lui, lui faisant des yeux ronds avec les sourcils froncés. Elle n'écouta pas les mots sur l'épouse comblée, elle était saisit par l'ampleur de la demande. Elle se posa mille questions, Agnès était-elle au courant? N'était-ce pas plutôt à son chef de famille de voir cela? Et puis lui elle ne le connaissait pas... Enfin presque. Si Agnès n'était pas heureuse en mariage suite à cela devrait-elle le faire tuer?
Face à tous ces questionnements Deedo fît donc ce qu'elle faisait le mieux, remettre la discussion à plus tard dans un endroit ou elle pourrait exprimer tout ce qui lui passait pas la tête.

Et c'est pendant que les époux échangeaient les serments qu'elle frappa d'un coup le coté du tibia d'Eusaias de sa chausse avant d'y ajouter quelques mots à voix basse, très basse.

Nous verrons cela après la cérémonie si vous voulez bien, car là entre les boeufs et le témoin, je ne crains de pouvoir vous donner la réponse que vous attendez.

Ben alors ça, on ne lui l'avait encore jamais faite, elle pensait déjà à la missive qu'elle allait envoyer à Agnès après la cérémonie.

Messages : 10 Date d'inscription : 30/10/2010

D'accord...

D'accord, mais non ! Elle n’avait pas dit oui ! Elle n’avait pas dit non, non plus… Mais ce fut le fait que le oui ne soit pas tout de suite qui frustrait Eusaias. Il n’avait pas pour habitude qu’on lui dise non ou qu’on le fasse attendre et c’est sans doute sur ce manque de « oui » que ses mâchoires se crispèrent. Il scruta un moment La double comtesse et cherchait en même temps la raison. De l’argent il pouvait en avoir en se servant à pleine poignées dans les caisses du duché. Il avait peu de terre mais Digoine restait vaste, surtout depuis que le Baron avait pris pour habitude d’empiéter sur les territoires voisins. Rare étaient les gens qui se dressaient face à lui, surtout quand il arrivait en ville avec sa bande d’écorcheurs, surtout que la plupart n’était au mieux que de simples Bourgeois.

Ses yeux s’ouvrirent grand et un air amusé pris forme sur son visage. La vérité lui sautait aux yeux désormais, La comtesse était amoureuse de lui ! Sans doute l’avait il charmé sans le faire exprès à St Omer, elle avait du oublier qu’il était mauvais jouteur, sans doute trop concentrée à surveiller son fessier ferme et rebondit. C’est donc peu à peu, les yeux toujours fixés sur la comtesse, un regard mutin éclairé, qu’il s’auto-persuada de l’amour de Deedlitt à son égard. Il se « rappela » avoir plusieurs fois surpris un regard mutin porté sur son fessier, il avait pour « souvenir » les sourires coquins de la comtesse. Est-il nécessaire de rappeler que l’imagination du Baron était fertile ?

C’est donc sur cette idée de sourire coquin, qu’il imagina la suite des évènements. La comtesse rentrerait chez elle, elle informerait Gnia de la demande. Celle-ci totalement éprise de Digoine ne pourrait que dire oui et c’est la que la comtesse ferait sa demande bien étrange : « Vous pourrez donc ma vassale épouser le fabuleux baron de Digoine, mais comme tout le monde le sait parfait amant, je souhaite que vous me le laissez trois soirs par mois pour animer ma couche. » De toute évidence Agnès de Saint Just approuverait, surtout le passage sur le parfait amant.

Le Balbuzard redressa le buste, allongea les jambes, il devait s’assurer qu’il ne rêvait pas que la comtesse était emplie de pensées graveleuses quand il était proche. Tout comme les chiens ont leurs puces et tiques, le baron de Digoine avait sa tactique, attendez un peu que je vous explique. La main du Balbuzard se porta sur le banc et glissa gentiment le long du rebord en direction de la cuisse de la comtesse. La dite main s’arrêta non loin de la cuisse visée, à la limite du convenable. La réaction comtale serait elle fait pour confirmer les pensées du Baron.

Messages : 28 Date d'inscription : 23/10/2010

Aux paroles de Monseigneur Guiguil leur mandant de se lever, l'assistance s'exécuta de bonnes grasces puisque c'était au tour des futurs mariés de prendre parole.

Il garda sa main contre celle de Robi et la serra peut estre un peu plus fort aux discours des futurs époux.

La cérémonie prenait son envol et Asclépiade avait quelque peu rit en voyant les "soucis" des premiers rangs....

Messages : 7 Date d'inscription : 26/10/2010 Localisation : Alençon

Elle ne s'était pas fait comprendre visiblement, puisque le Baron affichait un sourire amusé, jusque là, rien de bien important. Après tout chacun réagit différemment et les précédentes déclarations de son voisin la confortait dans l'idée que celui-ci avait le don pour mélanger un peu tout tout ce qui lui passait par la tête.

Quand elle vit le sourire amusé, elle resta imperturbable et regarda à nouveau les futurs époux prester serment. Tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes, quand elle sentît sur sa cuisse une pression inhabituelle. Elle jeta un coup d'oeil pour savoir à quoi cela était dû.
Stupeur et surprise, il avait osé le bougre, il avait osé poser la main sur elle. Si sa dentition avait été en plus mauvaise état on aurait pu entendre ses dents grincer.

Oui, le Baron n'avait pas compris le bon message, et à la place de "nous en reparlerons après la cérémonie", il avait du comprendre "nous ferons des folies après la cérémonie". Elle était furieuse au plus profond d'elle même.
Elle sentait monter en elle toute cette colère provoquée par un geste malencontreux dans une église qui plus est.

Quel outrage ! Quel geste inconvenant, elle était à la limite de ne pas pouvoir se contenir.

Mais elle n'avait pas été élevé comme ça, elle se devait de garder un calme olympien, de ne rien laisser paraître de tout ca.

Elle aurait aimé se lever, administrer une gifle magistrale à son assaillant, le genre de gifle qui, si elle ratait sa cible, aurait enrhumé son destinataire juste avec le courant d'air. Mais cela aurait troublé la cérémonie et elle n'était pas de ces hystériques sans éducation qui ne supportent pas que l'attention soit portée sur quelqu'un d'autre.
Elle ne voulait pas gâcher cette belle cérémonie. Un mariage est un sacrement des plus important, il ne fallait l'interrompre pour rien au monde.

Aussi elle chercha une autre réponse en elle même, une réponse plus appropriée, une réponse plus Cassel à ce geste. Il ne lui fallut pas longtemps pour en trouver une, elle était vive d'esprit et regorgeait d'imagination, cela lui était toujours utile, mais aujourd'hui elle pouvait que s'enorgueillir de posséder ces qualités.

Ainsi elle prit la main du Baron et la ramena sur la cuisse de son propriétaire d'un geste contenu, elle afficha le sourire le plus large qu'elle pu, sourire qui présageait de ce qui allait se passer.... Et adressa quelques mots encore au Baron. A voix basse, cela va de soit.

Mon cher, vous me seriez des plus agréable si vous acceptiez de venir me rendre visite à Sainct-Omer dès que le temps vous le permettra. J'ai grand hâte de vous entretenir de la situation.

Ô oui, il fallait qu'il vienne à Sainct-Omer, qu'il rencontre Grégoire, "l'empaleur de prétendants". Elle imaginait déjà son époux entrain d'affûter son épée avant l'arrivée du Baron. Elle se délectait des futurs hurlements de celui-ci et du dénouements de leur future rencontre. Que faire d'autre, c'était ainsi que devait se comporter une dame, rendre compte à son époux en toute sincérité et s'en remettre à son juste jugement.

Elle ne connaissait pas le Baron, mais le Très Haut lui en soit témoin, lui n'imaginait pas une seconde ou il mettait les pieds, enfin en l'occurrence la main. Ce qu'elle ferait, une fois les futurs époux féliciter, était déjà planifié, il fallait reprendre la route pour Paris, se rendre à la Chancellerie, demander audience et raconter tout cela à qui de droit. Quand cela sera fait, soit le Baron se rendra à Saint-Omer, soit il faudrait qu'ils prennent le chemin de Digoine. Il faudrait enjoindre Agnès à être présente d'ailleurs, elle voulait maintenant tout connaître de cet individu comportant une quantité phénoménale de sable dans les oreilles.

Jamais elle ne permettrait qu'un autre homme la convoite, ou la touche, jamais elle n'aurait transgresser l'autorité maritale de son époux. Et même si dans sa vie elle avait outrepassé certains droits, le serment de son mariage était inviolable de son point de vue.
C'est donc avec un grand sourire de fausse connivence, qu'elle se leva et prit place auprès de sa cousine Dotch sur un banc plus éloigné. Elle lui adressa un regard de salut, sans doute la Duchesse saurait reconnaître cette lueur particulière dans les yeux de Deedlitt.
Il faudrait d'ailleurs qu'elle en fasse état en confession le plus tôt possible.

Messages : 50 Date d'inscription : 05/05/2010

Merci Adonis pour ces mots, je pense pouvoir le dire également en le nom de ta future épouse.

Aliéna, maintenant est le moment pour toi de formuler tes voeux envers Adonis, d'annoncer ton Amour pour lui, tes projets pour vostre couple, vostre famille à venir, ce projet de vie dans le respect des valeurs aristotéliciennes.

Messages : 22 Date d'inscription : 30/03/2010

La cérémonie durait en longueur , entre tous les discours Helsinki au bras de sa douce était prêt de s'endormir .
Il s'endormit même , il se retrouva la tête sur l'épaule d'Alcidie avant qu'il n'ait su pourquoi ;
Il tint son bras, il espérait voir bientôt la fin de la cérémonie.
Elle durait , durait déjà depuis des siècles. Il était fatigué de rester dans la même position, ils voyaient des personnes plus pressées de se montrer que pour assister à un mariage.
Il écoutait , écoutait depuis trop longtemps, Lui était un homme d'action pas un homme d'église.
il prit le bras de sa douce et soupira discrètement.

Messages : 14 Date d'inscription : 27/03/2010

Alcidie écouta chaque mot prononcé. Lorsqu'elle sentit un poids sur son épaule. Elle regarda et vit son chéri dormir sur son épaule. Cela la fit sourire.
Faire des garde le laisser les yeux ouvert sans soucis mais ici dans l'église il ne tint plus.
Elle le laissa donc se reposer et pensa le reveiller lors de la remise des alliances. Elle attendit ensuite les mots d'Aliena pour max

Belle fille d'Angélyque Messages : 134 Date d'inscription : 20/03/2010

C'était maintenant à elle de parler ...

Moi, quand je suis arrivée à Lyon, il y a un peu moins d'un an, et que je me suis rendue en taverne, il y avait toi ... et Colombine * regard vers sa marraine * Puis j'ai intégré le conseil municipal où toi ... et Colombine m'ont accueillis. Ensuite j'ai commencé à faire des animation pour la ville et toi toujours ... Colombine et Soleil, étaient mes plus enjouées participants. Puis j'ai intégré l'OST où toi encore ... Soleil, Olivier et bien d'autres étaient là* coup d'œil à ses deux témoins *

Bref, depuis que je suis à Lyon, tu as toujours été là.
Max, simple forgeron au départ, Adonis, Seigneur de Cusy maintenant. Mais pour moi, tu seras toujours le même: le tavernier sympathique chaleureux et accueillant, l'homme dont je suis tombée amoureuse. Celui à qui j'ai donné mon cœur, celui à qui je vais maintenant pouvoir donner mon corps, celui avec qui je vais fonder une famille qui je l'espère sera aussi heureuse que celle que tu formes déjà avec ta mère, tes sœurs et tes cousins.

Son regard se plongea alors plus profondément dans celui de Maximien.

Max, je t'aime.

Duchesse Messages : 1260 Date d'inscription : 03/06/2009

La mère du marié était toute bizarre d'un coup...depuis que l'Evêque avait signé son front, elle se sentait toute drôle, à un autre moment, elle aurait été amusée de voir qu'au premier rang Digoine faisait des avances éhontées à une invitée, mais là elle ne pensait qu'à une chose, rester dans ce lieu saint, auprès de Guiguil, elle était déçue qu'il n'ait pas insisté pour la garder près de lui...elle retourna s'asseoir entre Cuche et la Duchesse Beatritz, essayant de prendre le moins de place possible, paisible et sereine, afin d'écouter les serments des mariés, ce jour était le plus beau de leur vie, la cérémonie était magnifique, dirigée par le meilleur des ecclesiastiques.

Un air de pure béatitude s'affichait sur son visage tandis que son regard resté fixé sur la nef.

Messages : 10 Date d'inscription : 30/10/2010

Foutre cul, rembarré ! Elle venait de le rembarrer ! "Jamais mais jamais ça ne lui était arrivé…" aimait-il se mentir. Elle avait beau sourire, elle… foutre cul. Mais là…. Sa main lui avait bel et bien été rendue. Vite un mensonge pour se sortir de là. Mentir ça il savait faire ! Prenant son air le plus désolé du monde il inspira fortement comme s’il allait se mettre à hurler mais la comtesse pris les devant et surtout la fuite.

"Je suis terrible confus et désolé. Ô sang dieu, je ne sais plus…. Oh non… mais…" Soupirant il regardera par terre comme un enfant qui est puni injustement. "Je pense tellement à Agnès, que… l’espace d’un instant je la voyais à mes côtés." Son regard se portera sur l’intérieur de sa main fautive, mimant toujours la culpabilité. "J’ai honte, j’ai fait nombreuses âneries dans ma vie, mais là… jamais je n’aurai osé si je n’étais pas persuadé qu’elle était « vous ». Pardon… Je vous demande pardon et vous présente mes plus plates excuses"

Pardon ? Non il s’en foutait royalement. Il voulait juste ne pas être « le repoussé » et ainsi il lui disait qu’il s’en moquait, qu’il ne pensait qu’à Agnès. En tout cas c’est ce qu’il lui dirait après la cérémonie, en rajoutant quelques sourires désolés, parfois cela marchait. En attendant le balbuzard était certain d’une chose : La comtesse de Saint Omer préférait les femmes aux hommes !

Son attention se reporta sur les mariés, même si ses pensées étaient occupées par ce petit potin qu’il venait de découvrir. Il pourrait le conter en élargissant les faits, à ses hommes enivrés alors qu’ils rentreront d’une chasse aux gueux.

Il se déplaça à nouveau, vers la porte cette fois, pour ne pas rater la comtesse à la sortie.

Messages : 19 Date d'inscription : 02/10/2010

Soleil après avoir écouté les témoins, ne peut , ne pas se rendre compte du remue ménage de tout coté. Dieu que ce mariage est animé, cela l'amuse, on se croirait déjà à la fin de la cérémonie, au moment des félicitations.
Il faut dire que la petite chapelle est bien remplit, Que de personnes qu'elle ne connait pas, et qui chahutent.

Vient enfin le moment des échanges entre les fiancés. Soleil sourit à Max quand il eut finit, puis vien le tour d' Aliena. Aliena qui a un mot pour elle, elle ne s'imaginait pas qu'elle avait pu compter autant pour Aliena.
C'est vrai que sa réserve ne l'aide pas à percer à jour le sentiment des personnes. Elle se contente d'observer, ce qu'elle fait encore aujourd'hui avec l'assistance.
Elle affiche un grand sourire à Aliena, ses yeux brillent de reconnaissance de l'avoir mentionnée ainsi, de l'avoir accueillit dans son cœur.
Soleil étant une sauvageonne, il a du lui en falloir un trésor de gentillesse et de patience pour qu'enfin elle s'ouvre un peu plus au monde

Messages : 50 Date d'inscription : 05/05/2010

Aliéna suivant la demande de Guiguil, prit la parole pour afficher ses voeux devant tous. Ainsi que son futur époux, ses mots étaient beaux, et l'on notait une volonté profonde des deux enfants de partager sa vie avec l'autre. Alors qu'il allait reprendre la parole, Guiguil fut distrait par des bavardages.
Tenant sa crosse, il en donna un coup sec sur la dalle payée à grands frais par son Ange, faisant suivre l'écho le long de la nef.

Clac !

Il resta ainsi immobile un court instant, fixant celui qui venait de troubler le silence du receuillement, puis reprit.

Mes Chers, tres Chers enfants, vous venez ainsi devant tous de prendre la parole pour affirmer vostre volonté commune d'union pour le reste de vostre vie. Vostre volonté est ainsi conforme aux préceptes aristotéliciens. Ainsi, vient le temps de l'aisser l'assemblée prendre la parole.

Il se tourna alors vers les deux côtés de la nef, balayant rapidement les visages pour dicerner quoi que ce soit, et dit en articulant bien pour les comprenettes difficiles.

Avant de poursuivre plus en avant, je demande à celui qui s'oppose à cette union de parler maintenant pardevant nous, ou de se taire à jamais.

Et là, c'était le moment qu'il redoutait. Il se souvint alors que lors de son dernier mariage, au même moment, une femme entra dans l'eglyse Sainte Marie Madeleine pour demander d'arrêter la cérémonie. Une première pour lui. Et il se souvenait encore des paroles qu'il avait eu alors. Il patienta, serrant sa crosse avec force.

Messages : 14 Date d'inscription : 27/03/2010

Alcidie suivait la cérémonie avec attention mais sursauta au bruit que fit la canne de monseigneur sur la dalle de la chapelle.

Citation :: Avant de poursuivre plus en avant, je demande à celui qui s'oppose à cette union de parler maintenant par devant nous, ou de se taire à jamais.

Alcidie fit comme monseigneur et posa son reagd dans la nef et la parcoura pour voir si quelqu'un bougeait. Elle ne le souhaitait pas et elle n'aimerai pas le vivre en etant l'offciant.

Messages : 10 Date d'inscription : 24/10/2010 Age : 34 Localisation : Thouars

Thomas écouta dans un calme presque suspect le mariage. Les vœux passèrent et son moment arriva. Le père dit une phrase anodine :

Citation :: Avant de poursuivre plus en avant, je demande à celui qui s'oppose à cette union de parler maintenant pardevant nous, ou de se taire à jamais.

Thomas se racla fortement la gorge dans le silence lourd. Tous le monde se disais : "Pourvu que personne ne dit rien ..." Mais pas de chance il était là et lui il avait quelque chose a dire. Une goute de sueur froide coula le long de son dos quand il se leva. Une fois debout de sa haute stature il dit d'une voix forte :

- Excusez moi ...

Là telle des pantin tous se tournèrent vers lui. Tous le regardèrent méchamment. Thomas fit un sourire en se disant que tous allez tombé de haut. Étonnamment sa gorge était sèche et il n'avait pas bu. Là il reprit sa tirade.

- Savez vous où est la buvette ???

Messages : 14 Date d'inscription : 10/09/2010

Gargantua à la fois émus par la cérémonie et amusé par la blague de cette personne qui venais de lui hurler dans les oreilles pour savoir où était la buvette. il ne voulais pas l'avouer mais maintenant qu'il y pensait, il avait très soif lui aussi...

il aurait bien aimé lui répondre mais n'étant pas sur lui même, il se contenta de se déboucher les oreilles avec ses gros doigts et de se reconcentrer sur les mariés.

Messages : 50 Date d'inscription : 05/05/2010

Alors que chacun regardait son voisin, un homme qu'il se leva pour dire.

Citation :: - Excusez moi ...

Et alors que Guiguil se demandait quoi, l'homme reprit.

Citation :: - Savez vous où est la buvette ???

L'Evesque se dressa de toute sa hauteur pour dominer un peu plus l'assemblée. Il serra sa crosse un peu plus fortement encore, faisant blanchir jusqu'à sa main. Il frappa alors par trois fois la dalle. Pauvre dalle.

Clac ! Clac ! Clac !!!

QUE LE BLASPHEMATEUR APPROCHE.

Une fois que celui-ci fut devant lui, il reprit.

Comment ce fait-il !!
Comment osez-vous ? !!

Comment pouvez-vous ainsi troubler le déroulement d'un sacrement aristotélicien ?

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